La Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques a débuté en novembre. Une question controversée sera au centre de l'attention : la négociation de nouveaux paiements des pays industrialisés vers leurs homologues moins riches – en utilisant notamment les bénéfices des sociétés pétrolières et gazières.
Le débat sur le financement de ces paiements est, pour le moins, houleux. Mais voilà, la révélation d'une étude menée par l'Université technique de Munich (TUM) pourrait tout changer.
Il s’avère que la manne engrangée par les sociétés pétrolières et gazières lors de la crise énergétique de 2022 était suffisante pour répondre aux obligations existantes des pays industrialisés pendant près de cinq ans. La solution des chercheurs ? Taxer ces soi-disant gains exceptionnels. (Sanjana Gajbhiye, plus sur terre.com)