Imaginez un monde où chacun mesure avec précision l’empreinte carbone des segments les plus riches et les plus pauvres de la société. Selon une étude récente, un tel monde semble fantastique. Une erreur de calcul courante apparaît : l’empreinte carbone des individus les plus riches est systématiquement sous-estimée, tandis que celle des groupes moins privilégiés est considérablement surestimée.
Cette tendance surprenante s’observe dans différents statuts socio-économiques et nationalités, révélant une incompréhension généralisée à l’échelle mondiale quant à la manière dont la richesse influence l’impact environnemental. (Rodielon Putol, plus sur terre.com)