Une nouvelle étude publiée dans Avancées scientifiques ont découvert qu'un régime alimentaire flexitarien plus durable augmente la faisabilité des objectifs climatiques de l'Accord de Paris de diverses manières.
"Réduire les émissions de gaz à effet de serre liées aux changements alimentaires, en particulier le méthane provenant des ruminants élevés pour la viande et le lait, nous permettrait d'augmenter notre budget mondial actuel en matière de CO. 2 à la hauteur de 500 gigatonnes par 125 gigatonnes et toujours dans les limites de 1,5°. C avec une chance 50%", explique Florian Humpenöder, scientifique du PIK et co-auteur de l'étude.
La tarification des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le système énergétique et foncier est un outil politique important pour rester dans les limites du réchauffement de 1,5°C. (Plus sur phys.org)